L’assistance nombreuse de cette soirée a démontré, s’il en était besoin, que les dérives de la science préoccupent grandement nos contemporains.
Après un rapide commentaire par Philippe Granarolo de la fameuse phrase de Heidegger « la science ne pense pas », Claude Cesari a commencé par opposer « sciences exactes » et « sciences approximatives ».
Ce sont ces dernières qui concentrent les difficultés. Soumises à des diktats financiers, dans le tourbillon de la précipitation obligeant les scientifiques à publier toujours plus et toujours plus vite, les sciences connaissent des dérives très inquiétantes à propos desquelles l’opinion publique doit être avertie.
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